Je m’appelle LECOCQ David, je suis né à Amiens dans la Somme en 1982 et là ma mère dirait “il faisait très froid, il neigeait et ta grand mère était tellement pressée de te voir qu'elle a pris une amende parce qu’elle s’était mal garée”.
J’ai grandi dans une famille aimante avec ma soeur et mon petit frère dans les quartiers sud de ma ville.
Après une adolescence et une jeunesse à me chercher et à décevoir mes parents, à 23 ans une grosse remise en question me pousse à m’engager à l’armée.
Un vrai virage à 360°, je peux vous dire que pas grand monde n'avait misé une pièce sur moi. À cette annonce, ma mère pleurait tandis que mon père disait “t’inquiètes pas, David dans deux jours il est rentré aux premiers ordres reçus il rentrera”.
J’ai fais 5 ans, la chance de ma vie. Sans cette expérience je n’en serais peut être pas là aujourd’hui et j’aurais sûrement mal tourné.
Cette expérience a fait de moi la fierté de mes parents pour une fois et je pense aussi celle de ma soeur et de mon petit frère.
Fort de cette expérience, j’ai compris que maintenant je serais chef mais un chef d’entreprise, un entrepreneur quoi.
Je me suis tout d’abord essayé dans le bâtiment, expérience magique aux côtés de mon père, d’ailleurs c’est bien grâce à lui si je suis manuel.
À l’appartement il avait son cagibi de 2 m² où il avait tous les outils possibles et imaginables.
Il suffisait juste que ma mère lui dise “tu saurais me faire ça ?”, deux jours après s'était réalisé sans aucun problème.
J’ai tenu cette entreprise deux ans. Faute de clientèle j’ai mis la clé sous la porte.
Me voilà donc sans travail. Impossible pour moi désormais de rester sans travailler, j’ai une femme, une fille et un fils maintenant.
Je me retrouve donc intérimaire à fabriquer des embrayages dans la zone industrielle nord d’Amiens et cela grâce à un ami qui m’a pistonné.
Mais en même temps je prépare mon petit plan, j’ai un projet d’avoir mon propre commerce et d’être patron de bar. J’ai réussi à l’avoir ce bar et je l’ai tenu quasiment 8 ans.
En vrai j’ai toujours eu cette idée de créer une marque. À l’époque à l’armée, j’avais déjà sorti des tee-shirts. La marque s'appelait Classeighty (La classe du 80).
À l’armée, en général tout le monde est fier de représenter sa région. Il est vrai que dans le nord, on n’a pas forcément la côte mais moi je suis fier. Elle est magnifique cette ville avec notre superbe Cathédrale et notre Jules Verne connue également dans le monde entier. D’ailleurs mon grand père était fan invétéré et incollable à son sujet.
Nous avons aussi les Hortillonnages, endroit magnifique d’Amiens. Cette ville a de quoi faire !
Alors Code Barbe je l’ai en tête depuis déjà des années mais étant commerçant sans compter mes heures, le temps qu’il me restait, je préférais le partager avec mes enfants. Mais cette marque, ce nom “Code Barbe”, mûrissait chaque jour dans ma tête.
Et là, surgit ce drame planétaire, la Covid 19. Ce drame mondial a été pour moi une opportunité, oui vraiment.
Je faisais parti des commerces qui pouvaient toujours travailler (avec quand même pas mal de restrictions) mais une amplitude horaire divisée par deux.
J’ai alors enfin du temps pour dessiner, griffonner des feuilles et des feuilles de papier. J’avais tout dans la tête, tout était gravé dans ma mémoire, il fallait maintenant réussir à réaliser mes pensées.
Je me débrouille pas mal, j’ai toujours dessiné, j’ai une bonne vision des perspectives, des vues 3D, un bon coup de crayon m’a t’on déjà dit.
Mes cahiers d’écoles ressemblaient plus à des BD qu’à des cahiers de cours.
Croquis après croquis, retouches après retouches, j’en suis arrivé à ce résultat.
Ce visage à lunette teintée qui porte avec fierté la barbe.
Maintenant je suis heureux d’avoir créé cette marque et de pouvoir proposer ma création au public.
J’espère qu’elle sera portée avec fierté et que chacun s’appropriera la marque pour les valeurs qui lui appartiendra.
J’ai des idées plein la tête, c’est le début d’une grande aventure.
#codebarbe.
Je m’appelle LECOCQ David, je suis né à Amiens dans la Somme en 1982 et là ma mère dirait “il faisait très froid, il neigeait et ta grand mère était tellement pressée de te voir qu'elle a pris une amende parce qu’elle s’était mal garée”.
J’ai grandi dans une famille aimante avec ma soeur et mon petit frère dans les quartiers sud de ma ville.
Après une adolescence et une jeunesse à me chercher et à décevoir mes parents, à 23 ans une grosse remise en question me pousse à m’engager à l’armée.
Un vrai virage à 360°, je peux vous dire que pas grand monde n'avait misé une pièce sur moi. À cette annonce, ma mère pleurait tandis que mon père disait “t’inquiètes pas, David dans deux jours il est rentré aux premiers ordres reçus il rentrera”.
J’ai fais 5 ans, la chance de ma vie. Sans cette expérience je n’en serais peut être pas là aujourd’hui et j’aurais sûrement mal tourné.
Cette expérience a fait de moi la fierté de mes parents pour une fois et je pense aussi celle de ma soeur et de mon petit frère.
Fort de cette expérience, j’ai compris que maintenant je serais chef mais un chef d’entreprise, un entrepreneur quoi.
Je me suis tout d’abord essayé dans le bâtiment, expérience magique aux côtés de mon père, d’ailleurs c’est bien grâce à lui si je suis manuel.
À l’appartement il avait son cagibi de 2 m² où il avait tous les outils possibles et imaginables.
Il suffisait juste que ma mère lui dise “tu saurais me faire ça ?”, deux jours après s'était réalisé sans aucun problème.
J’ai tenu cette entreprise deux ans. Faute de clientèle j’ai mis la clé sous la porte.
Me voilà donc sans travail. Impossible pour moi désormais de rester sans travailler, j’ai une femme, une fille et un fils maintenant.
Je me retrouve donc intérimaire à fabriquer des embrayages dans la zone industrielle nord d’Amiens et cela grâce à un ami qui m’a pistonné.
Mais en même temps je prépare mon petit plan, j’ai un projet d’avoir mon propre commerce et d’être patron de bar. J’ai réussi à l’avoir ce bar et je l’ai tenu quasiment 8 ans.
En vrai j’ai toujours eu cette idée de créer une marque. À l’époque à l’armée, j’avais déjà sorti des tee-shirts. La marque s'appelait Classeighty (La classe du 80).
À l’armée, en général tout le monde est fier de représenter sa région. Il est vrai que dans le nord, on n’a pas forcément la côte mais moi je suis fière. Elle est magnifique cette ville avec notre superbe Cathédrale et notre Jules Verne connue également dans le monde entier. D’ailleurs mon grand père était fan invétéré et incollable à son sujet.
Nous avons aussi les Hortillonnages, endroit magnifique d’Amiens. Cette ville a de quoi faire !
Alors Code Barbe je l’ai en tête depuis déjà des années mais étant commerçant sans compter mes heures, le temps qu’il me restait, je préférais le partager avec mes enfants. Mais cette marque, ce nom “Code Barbe”, mûrissait chaque jour dans ma tête.
Et là, surgit ce drame planétaire, la Covid 19. Ce drame mondial a été pour moi une opportunité, oui vraiment.
Je faisais parti des commerces qui pouvaient toujours travailler (avec quand même pas mal de restrictions) mais une amplitude horaire divisée par deux.
J’ai alors enfin du temps pour dessiner, griffonner des feuilles et des feuilles de papier. J’avais tout dans la tête, tout était gravé dans ma mémoire, il fallait maintenant réussir à réaliser mes pensées.
Je me débrouille pas mal, j’ai toujours dessiné, j’ai une bonne vision des perspectives, des vues 3D, un bon coup de crayon m’a t’on déjà dit.
Mes cahiers d’écoles ressemblaient plus à des BD qu’à des cahiers de cours.
Croquis après croquis, retouches après retouches, j’en suis arrivé à ce résultat.
Ce visage à lunette teintée qui porte avec fierté la barbe.
Maintenant je suis heureux d’avoir créé cette marque et de pouvoir proposer ma création au public.
J’espère qu’elle sera portée avec fierté et que chacun s’appropriera la marque pour les valeurs qui lui appartiendra.
J’ai des idées plein la tête, c’est le début d’une grande aventure.
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